COMPTE RENDU DE L'ASSEMBLEE GENERALE
DE L'INVENTAIRE RHÔNE-ALPES
LE
16 DECEMBRE 2006
Principaux points abordés:
. Historique
. Les statuts
. Principe de la règle du jeu
de L'Inventaire
. Les membres de droit
. Les collèges
. Fonctionnement des projets
pis en place par l'association
. Le dossier financier
2006
. Subventions 2007
. Les projets en cours
. Les
projets en cours
Tour d'horizon rapide sur la liste des compositeurs d'électroacoustique en Rhône-Alpes :
Liste à mettre à jour.
Merci de faire passer le message à tout nouveau compositeur d'électroacoustique
en Rhône-Alpes de l'existence de l'Inventaire Rhône-Alpes.
La liste n'est pas définitive et est continuellement mouvante.
L'association L'Inventaire Rhône-Alpes des compositeurs de musiques électroacoustiques.
L'Inventaire existe depuis l'an 2000 par la mise en place de projets au sein de la structure GMVL
Les membres du bureau de L'Inventaire ont décidé de prendre leur autonomie en 2005, la création de l'association et les statuts ont été déposés à la préfecture du Rhône en janvier 2006.
Lecture des Statuts par Fabien Saillard secrétaire.
Lors de la lecture des Buts de l'association, Jean-Jacques Bénaily, président, prend la parole pour expliciter le fonctionnement originale de l'association. Il rappelle que le principe, la règle du jeu de L'Inventaire Rhône-Alpes est que chaque membre de l'association peut proposer au bureau un projet qui est ensuite aussitôt soumis à l'ensemble des compositeurs adhérents. Le projet est mis en oeuvre dès lors qu'l y a suffisamment de personnes intéressées.
Les duos électrolittéraires (22) furent composés selon cette idée. D'ailleurs, les liens entre musiciens et écrivains furent créés par l'initiateur du projet Patrick Dubost. C'est donc le hasard généré par le lancement des dés qui créa les tandems électrolittéraires.
Le coffret de 4 CD avec 52 compositeurs
Les Boîtes sonores (projet en cours) avec 16 compositeurs
Le projet théâtre avec 10 compositeurs.
Carmel Zahra insiste ensuite à nouveau sur l’importance de l'appel à projet, tout en ajoutant que le rôle du bureau est de rechercher les subventions et les moyens pour mettre en place le projet et le présenter dans des lieux.
Il souligne à ce moment-là qu'il est capital pour le bureau que chaque adhérent réponde bien et dans les temps impartis lorsqu'un nouveau projet est envoyé à toute la liste des compositeurs. Il rappelle aussi que tout porteur de projet le suit jusqu'au bout.
Fabien
Saillard continue la lecture des articles constituant les statuts.
Par rapport à l'article 5, Fabien Saillard ajoute quelques mots concernant
les membres de droits. Si aucun membre de droit n'a pas encore été invité à participer à la
vie associative c'est que l'association n'en est encore qu'à ses
débuts.
J.J. Cornillon : Y a-t-il des membres de droit ?
F. Saillard : Il y aurait pu en avoir, puisque l’Inventaire Rhône-Alpes a fait une installation lors de Vivre les sons 2006 avec Le centre du son qui se trouve dans le nord Isère. Seulement, notre fonctionnement est trop récente pour convier des personnes qui ne sont pas des compositeurs.
J-J Bénaily : Philippe Moënne-Loccoz est intéressé pour que le MIA (Musique Inventive Annecy) soit membre de droit de L’Inventaire Rhône-Alpes, tout en voulant adhérer à titre personnel. Il a une volonté de collaboration avec L'Inventaire Rhône-Alpes en proposant des résidences à des compositeurs. Ainsi, il peut donc y avoir des associations, des studios ou des structures qui peuvent être intéressés à participer aux projets de l'association.
En rapport à l'article 9, une personne a demandé à quoi correspondaient les collèges ?
J-J Bénaily : Le conseil d'administration est constitué de trois collèges. On a tenu à garder un collège de membres fondateurs car depuis l'an 2000, il y a à peu prêt une dizaine de personnes qui ont participé à la réflexion de fond sur tous les projets de l'Inventaire.
Reprise de la lecture des statuts de l'article 10 jusqu'à la fin.
Carmel Zahra : J'aimerais revenir sur le fonctionnement de L'Inventaire Rhône-Alpes. Il est important de garder cette démarche qui consiste à ce que ça soit un compositeur qui émette une proposition. Laquelle est reprise ensuite par le bureau. C'est ce mode de fonctionnement basé sur l'aller-retour propre aux réseaux qui peut intéresser les subventionneurs. Nous ne sommes pas une structure organisatrice de spectacles, un énième collectif. La nouveauté consiste à ce que des compositeurs cherchent des moyens financiers donnant lieu à une création qui puisse être visible et entendue dans des lieux. C'est cet axe qui est intéressant. Si aucun compositeur n'émet de projet, aucune création n'aura lieu en 2008 et ainsi il n'y aura aucune subvention pour cette année-là. On attend 2009. Il est donc important de garder ce mode de fonctionnement qui fait la différence avec n'importe quel autre organisme car c'est lui qui interpelle les institutions qui subventionnent notre association.
J-J
Bénaily :
Certaines caractéristiques de notre association intéressent particulièrement
les politiques culturelles comme la DRAC et la Région Ils pensent que
nous pouvons jouer le rôle d'une association tête de réseau
en mobilisant tous les compositeurs de la région. En plus de cela, notre
mode de fonctionnement et notre manière originale de mettre en place
nos projets basés sur l'interdisciplinarité les interpellent
aussi. Ils trouvent pertinent que nous créons des rencontres avec
des poètes, des vidéastes, des metteurs en scène, des
plasticiens…
Frédéric
Kahn :
Ce qui semble aussi intéresser les politiques, c'est qu'il n'y ait pas
la mise en place d'un modèle hiérarchique habituel où une
personne choisirait un thème ou un projet pour les autres. En effet,
l'idée de départ, la règle du jeu peut être émise
par chacun d'entre nous ; que la personne soit simple adhérente,
qu'elle fasse partie du conseil d'administration ou du bureau, qu'elle soit
un artiste oeuvrant dans une autre discipline, ça n'a pas d'importance.
Il n'y a pas de projet qui soit susceptible d'être refusé au préalable
simplement parce que tel compositeur aurait telle esthétique. C'est
le plébiscite autour d'un projet qui fait que tous les moyens vont être
mis en place pour le réaliser.
Les statuts ont été approuvés à l’unanimité lors de cette Assemblée Générale.
Quelques questions sur le mode de fonctionnement des projets mis en place par l'association.
Quelle est la relation entre le porteur de projet et les personnes qui participent en tant que créateurs ? (1 compositeur)
J.J.
Bénaily :
Le porteur de projet est celui qui énonce l'idée de départ
et veille à ce que son cadre soit respecté. Pour le projet électrolittéraire, Patrick
Dubost, avait en sa possession la liste des compositeurs et des poètes
de Rhône-Alpes ; un jour il a joué aux dés les noms
des artistes et a ainsi créé par le biais du hasard des duos émanant
des deux groupes. Après ces préléminaires on devait faire
une pièce de 7 à 8 minutes en enregistrant la voix du poète
lisant son texte. C'était la consigne du porteur de projet. Ensuite
j'ai porté le projet des paysages sonores où j'ai proposé un
certain nombre de définitions autour de la notion de " paysage
sonore" ; c'est resté d'ailleurs très ouvert. Ainsi,
des compositeurs ont joué le jeu et ont mis en application dans leur
pièce les divers définitions acceptées au préalable
par eux.
Carmel
Zahra :
Il faut rappeler que tous ces projets ont été choisis car une
majorité de compositeurs y ont adhéré ; bien entendu
d'autres projets non retenus ont été proposés.
- Du
coup, c'est un processus collectif. Qui est l'auteur ? Est-ce qu'il y
a une oeuvre globale, un ensemble d'oeuvre ? (le même compositeur)
J.J
Bénaily :
c'est un ensemble d'oeuvres sur une idée de base. Ça pourrait être
aussi une oeuvre collective, si c'est le projet de départ. Ce type de
projet a d'ailleurs été proposé. Par exemple 10 projets
arrivent. Le bureau les renvoient à tout le monde et ensuite les gens
se prononcent. A ce moment là, les personnes du bureau font la synthèse
et commencent à mettre en place le projet qui a été choisi
par le plus de personnes. Seulement nous pouvons traiter un à deux projets
par an.
Pierre
Gonzales :
Est-ce que la question s'est posée à savoir que l'Inventaire
Rhône-Alpes fasse la démarche de demander une licence d'entrepreneur
de spectacle ?
J.J
Bénaily :
Nous sommes obligés de demander une licence de type deux d'entrepreneur
de spectacle. Nous en faisons la demande actuellement. Elle permet de rémunérer
les compositeurs lorsque nous faisons par exemple des installations. Néanmoins,
ce n'est pas dans notre vocation d'organiser des spectacles ; c'est pourquoi
nous cherchons des lieux pour accueillir nos projets. Jusqu'à maintenant
nous avons été accueillis par le GMVL, à la friche RVI,
au centre du son en Isère, dans divers lieux de Chalon sur Saône,
au 38e Rugissant, au MIA à Annecy, au CNSMD de Lyon. Actuellement
pour les boîtes sonores nous sommes entrain de chercher des centres,
des musées, des galeries…
Installation des Paysages sonores acheté par Le centre du son en octobre 2006 : 2000 € (versés fin février 2007).
Les dossiers de subventions pour 2007 :
J.J. Bénaily et Carmel Zahra :
La demande de Budget est assez conséquente pour 2007, puisque nous demandons des subventions pour le projet des boîtes sonores. Nous sommes sur le point de finir de déposer les dossiers à la Drac, à la ville de Lyon et à la région. Cette dernière nous propose en plus une aide à l'investissement. Nous pensons donc monter un orchestre de haut-parleur. A la suite de la demande du bureau, Jean-Marc Duchenne nous a préparé un projet d'acousmonium. Néanmoins les compositeurs qui le souhaitent peuvent peut-être se rapprocher de Jean-Marc pour affiner le devis. Ce projet d'acousmonium est dédié aux compositeurs qui font partie de l'Inventaire Rhône-Alpes et devrait être adapté pour faire des performances, des installations qui correspondent à ce que l'Inventaire Rhône-Alpes est amené à accomplir dans les années à venir : du 5.1, des installations, des concerts. C'est un matériel de base qui peut être acheté en plusieurs fois selon les subventions. Cela nous permettra à tous de mettre au point des projets sans que l'on soit obligé de demander à d'autres structures du matériel de diffusion. Le noyau de base serait en 5.1, il permettrait de faire des installations dans des espaces limités. Pour ce dispositif, nous sommes allés écouter des enceintes de très bonnes qualités et pas trop chères à Muzikit. Des extensions sont possibles pour faire du 7.1, une octophonie avec de bonnes enceintes Behringer (copies de Genelec avec un coût moindre). Plusieurs structures en ont déjà acheté et sont considérées comme de très bonne qualités
Il se pose ensuite la question d'un lieu pour entreposer le matériel. En effet, l'Inventaire Rhône-Alpes a pris contact avec une association de la friche RVI : la Vaca loca. Dans les 1700 m2, l'Inventaire Rhône-Alpes pourrait avoir un lieu et y stocker son matériel et éventuellement y faire ses réunions de façon indépendante. La structure l'Inventaire Rhône-Alpes adhérerait à l'association Vaca loca. Tout cela est à même de se concrétiser dès lors qu'on aura le matériel. Il est d'ailleurs question de fabriquer les boîtes sonores sur place. Suite aux paysages sonores qui ont été donnés en septembre dernier pour les journées du patrimoine, nous nous sommes rendus compte que cet espace est approprié pour faire des écoutes, des simulations, d'échanger en écoutant le travail des uns et des autres. Si un artiste est porteur d'un projet, il peut faire les écoutes avec toute l'équipe avec lequel il travaille.
Carmel
Zahra :
Il est important que vous répondiez bien aux projets que l'on vous soumet
car nous ne voudrions pas que vous ayez l'impression que c'est seulement un
certain nombre de compositeurs, une dizaine, une vingtaine qui apparaissent
constamment pour honorer les différents projets proposés. Nous
ne voudrions pas que l'Inventaire Rhône-Alpes apparaissent comme un moyen à certains
compositeurs de faire de l'auto-promotion ; nous tenons à rappeler
que l'ouverture pour participer aux projets est total.
Frédéric
Kahn :
Les gens qui sont un peu loin géographiquement peuvent se sentir lésés, il
ne faut donc pas hésiter de temps en temps à envoyer un mail
et à montrer son intérêt pour les projets qui se mettent
en place.
Carmel
Zahra :
En effet, certaines personnes se sentent éloignés de l'Inventaire
Rhône-Alpes car ils ne peuvent pas venir aux réunions comme ils
le désireraient. La réponse que l'on peut faire à ces
personnes est qu'ils peuvent devenir initiateurs de projets et ainsi nous mettre
en relation avec les personnes organisatrices de spectacles qu'ils sont amenés à côtoyer
et qui se trouvent sur leur territoire.
J.J.
Bénaily :
Il faut peut-être rappeler notre collaboration avec les gens du centre
du son lors de l'événement Vivre les sons qui a eu lieu
en octobre dernier. Les organisateurs de l'événement sont très
heureux de notre participation et nous proposent pour fin 2007 la mise en place
de projets rénumérés entre un compositeur et les collèges
du nord Isère pour faire une sensibilisation à la musique acousmatique
sur une année scolaire.
Le MIA d'Annecy est très intéressé pour la mise en place
de projets avec l'Inventaire Rhône-Alpes et souhaite mettre en place,
chaque année, des résidences avec un compositeur de notre association
avec une commande du MIA pour le compositeur.
Carmel
Zahra :
C'est essentiel pour la vie de l'association que vous restiez en liaison
avec nous par internet et jetiez de temps en temps un oeil sur le site
de l'Inventaire
Rhône-Alpes que nous sommes sur le point de transformer et améliorer.
D'ici peu les informations sur l’association et les projets en cours
seront accessibles en ligne à l'adresse suivante : http://inventaire.r.alpes.free.fr/
Ce travail que l'on mène existe afin que vous participiez à l'association
sinon cela n'a aucun intérêt.
Un point sur les projets en cours :
J.J
Bénaily :
Pour le projet des boîtes sonores, nous avons fait un
dossier à envoyer aux différentes structures que l’on
a ciblé. La forme de la boîte a beaucoup évolué,
le projet coûte cher à la fabrication et on espère
que les boîtes pourront être fabriquées. Seize
compositeurs ont répondu ; le financement sera connu
en février-mars.
Carmel
Zahra :
Nous n'avons pas de budget de fonctionnement, de financement par contre
lorsqu'on va dans un lieu pour proposer un projet, nous faisons en sorte
dorénavant
de demander un défraiement et à ce qu'il y ait une somme d'argent
versée à l'artiste. Par exemple dans le budget prévisionnel
des Boîtes sonores, nous avons prévenu une rémunération
pour les compositeurs de 560 €.
J.J
Bénaily :
Une fois que l'installation est créée, il y a un budget de location
de l'installation qui sera reversée aux compositeurs d'où l'intérêt
d'avoir la licence de spectacle de type deux. Par contre pour Les Paysages
sonores l'argent est reversé directement à l'association,
ce qui nous permet d'avoir de l'argent sur le compte de l'association.
Pour les boîtes sonores, l'idée de reverser l'argent aux compositeurs
fait partie du projet lui-même.
Frédéric
Kahn :
Il faut rappeler d'ailleurs que Les Paysages sonores n'est pas une création
mais bien une reprise
Carmel Zahra :
Nous estimons dorénavant que nous ne pouvons plus continuer à être
accueillis dans des lieux sans être rémunéré. Ce
principe de base n'est plus possible. On tient à ce que des moyens soient
donnés à l'artiste. Il est important de prendre conscience de
cela. Si vous connaissez des lieux susceptibles d'accueillir l'Inventaire dans
de bonnes conditions, faîtes le nous savoir.
J.J.
Bénaily :
Dans le cadre de mon travail au CNR de Chalon sur Saône, j'ai rencontré un
théâtre qui était en lien avec le conservatoire. Je leur
ai donc proposé une collaboration qui se ferait entre un compositeur électroacoustique
et une idée théâtrale basée sur une pièce
de théâtre ou sur un concept original venant du compositeur. Cette
collaboration se concrétisera de deux façons ; d'une part
sous la forme d'un spectacle avec un accompagnement sonore en direct et d'autre
part sous la forme d'une pièce radiophonique. Trois collaborations par
an est le maximum envisagé. Ce projet sera au moins conduit sur trois
ans, avec trois compositeurs par année. C'est le conservatoire de Chalon
qui finance le projet.
Carmel
Zahra :
Lors de Vivre les sons 2006, nous avons rencontré une société qui
fabrique des casques multiphoniques où on peut visualiser sur un écran
le déplacement du son. Nous avons pris les coordonnées de cette
société ; je compte d'ailleurs très bientôt
les rencontrer et obtenir un partenariat. Il serait donc intéressant
de faire des créations pour ce casque et de les présenter au
futur centre du design de Saint Etienne. De plus ce projet permettrait de ne
plus être tributaire d'une salle.
Fabien
Saillard :
A la fin 2005, j'ai remis à Annecy un coffret de L'Inventaire à Juraj
Duris, directeur du studio expérimental de la radio slovaque. Il a diffusé quatorze
compositeurs du coffret les 10 et 17 mars 2006. Vous pouvez aller sur les liens
de la radio slovaque : http://www.radioart.sk/avr/radiopage.php?id=228 et http://www.radioart.sk/avr/radiopage.php?id=223
. D'autre part, il semble qu'il ait diffusé le coffret auprès de confrères de la radio tchèque, polonaise et hongroise…Il faut que je reprenne contact avec M. Duris afin d'en être sûr. Aussi, je pense qu'il serait intéressant de profiter de ces contacts pour pratiquer des échanges européens avec ces nouveaux pays nouvellement entrés dans l'Europe.
Une question a été soulevée par Pierre Gonzales et Jules Desgouttes, membre d'Abi/Abo à savoir si une association peut faire partie du conseil d'administration comme membre de droit. A ce sujet, il semble que les avis soient partagés. Cette ligne des statuts sera rediscutée en conseil d'administration tout en étant précisée dans le futur règlement intérieur.
J.J
Bénaily :
Tous ces projets demandent beaucoup d'énergie ; plus les projets
sont intéressants, plus on doit y consacrer du temps. C'est pour cette
raison que l'on demande de bonnes volontés pour participer au fonctionnement
de l'association. Est-ce qu'il y a des personnes qui veulent faire partie du
conseil d'administration permettant d'élire un nouveau bureau.
Jean-François Minjard, Gérard Torres et Emmanuelle Jolly présents veulent bien faire partie du conseil d'administration. Frédéric Kahn, Fabien Saillard, Jean-Jacques Bénaily, Alain Carmel Zahra, Jean-Jacques Cornillon et Biétrix Schenk continuent d'oeuvrer au sein du conseil d'administration.